La compétition est un bon test pour savoir si otre entraînement a été suffisant. Mais votre : bjectif prioritaire reste les jeux olympiques. Bien évidemment, vous n’échapperez pas à la cérémonie d'ouverture, qui est loin d'égaler celle d'AI- bertville. Un présentateur, près de la flamme olympique, vous invite à choisir votre pays et la tête de votre personnage. Ces derniers sont tous plus délirants les uns que les autres. Certains Attention à la toute première version sur Atari : le temps de chargement entre chaque épreuve était tellement élevé (plus d’une minute) que l’éditeur a dû ressortir une seconde version qui ne pose plus de problème. Entre vAmiga et le ST, les différences sont le plus souvent d’ordre musical. Une fois de plus, la bande sonore sur Amiga est plus nette. Rapide que sur PC, ce qui rend Superski II beaucoup plus jouable sur ces deux machines. Déjà sur vos écrans... Quasiment pas de différences entre les versions Amiga et ST. Les graphismes sont de même qualité et l’animation (entre 20 et 23 images seconde) est aussi souple. En revanche, la vitesse de scrolling est moins 5UPERSKI |H PIOTR : NON ! Qu’ils sont agaçants 2* ces constants appels disque ! En " phase d’entraînement, il n’est pas rare de ne rester que quelques secondes sur la piste. Rien que de très normal, me direz-vous... Oui, mais chaque chute vous oblige à visionner la page écran des scores. Résultat : une attente très énervante, avec pour seule distraction le couinement de votre lecteur.