Les outsiders Non loin de là, Commodore, le concurrent inavoué, se faisait tout petit. Pas le moindre Amiga à l'horizon, seul le C 64 C pointait timidement le bout de son nez. Absence remarquée qui montre un Amiga en difficulté, toujours en quête de son public. Pourtant Commodore affirme vouloir réorienter la machine vers des milieux professionnels. Profil bas également pour l’Amstrad qui a fait un flop monumental avec le lancement de sa gamme ; seules deux mille unités ont été écoulées. En conséquence, la filiale américaine fait porter tout l’effort marketing sur le Joyce, l’ordinateur spécialisé dans le traitement de texte. Autant de données qui marquent l’écart séparant le marché américain de son homologue européen. Le logiciel nouveau est arrivé La même réflexion s’impose si l'on se tourne vers la nouvelle moisson de logiciels. Seuls les plus gros, ST, Amiga, Commodore 64, Apple, Macintosh et IBM, ont la faveur des développeurs. Hors eux, point de salut. La collection d’été, présentée par les sociétés de softs, mise, elle aussi, sur les grands classiques.