SECTORISATEUR ? Un rapide rappel sur le but et l'utilité de ce programme : présenté dans l'ancienne rubrique ViewPort. Dans laquelle des éditeurs livraient leurs astuces de programmation, et programmé par Jean-Pierre Vitulli. Sectorise permettait d'écrire sur une suite de secteurs de la disquette placée en DFO:. Par le biais du trackdisk.device, un fichier AmigaDOS quelconque (image, musique, programme exécutable...). PREPARATIFS De quoi a-t-on besoin pour "transformer" un programme C en son équivalent assembleur ? Tout simplement d'un bon assembleur. J'entends par là "macro-assembleur", c’est-à-dire capable de jongler avec des fichiers includes et. éventuellement, de produire un code linkable plutôt qu’exécutable. Comme vous devriez maintenant en avoir l'habitude, c'est le Devpac II qui a été choisi, mais l’assembleur du Lattice, le DP a68k ou même l'ancêtre Metacomco feront l'affaire. Un peu de documentation ne fera pas de mal non plus et pour une fois, la Bible de l'Amiga (deuxième édition, celle à la couverture bleue) conviendra parfaitement. Mes précédents articles dans l'ANT (utiliser amiga.lib, mélange C assembleur) ne seront non plus pas de trop. Quelques connaissances, même rudimentaires, du langage C seront également les bienvenues. PROBLEMES A quel type de problème se heurte-t-on dans ce cas-là ? Le plus gros concerne les structures du C. intensivements utilisées sur l'Amiga. En effet, alors que le compilateur C sait d'office la taille des champs des structures, l’assembleur ne la connaît absolument pas. Et qui plus est. Ne se plaindra pas le moins du monde si vous référencez un mot long alors que le champ est de la taille d’un octet. D'où futilité de la documentation dont il est question dans le paragraphe précédent.