La mode actuelle est aux cartes accélératrices, et à toute autre formes de débauche de bits et d’octets. Avant d’entreprendre la description de la LUCAS Board, notre carte à base de 68020, j’aimerais beaucoup vous entrenir des tenants et aboutissants de cette démarche. Qui n'a pas déjà frémi à l'idée de doier sa machine de ces supers puces répondani aux doux nom de 68010, 68881 et autre 68030? Tout ceci sans parler des "obèse" Agnus et autre Buster constitutifs du nou- vaux chipset destiné à équiper les 500 et 2000B. 11 faut toutefois être réaliste, pour l’utilisateur moyen toutes ces puces et même l'E.C.S. (Ed: il s'agil du nouveau Enhenced Chip Set) ne vous seront que rarement utiles ! Il en est sûrement qui me traite déjà de dégénéré défaitiste mais soyons honnêtes, combien d’entre vous ont développé leurs propres logiciels? Et combien d’entre vous utilisent quotidiennement un programme du type ProPage ou Sculpt 4D ? Force est de constater que la puissance Un cas particulier est celui de la carte accélératrice de C.M.I. dont le rôle est de doubler la fréquence de travail du 68000 (à 14MHz) et d'offrir une interface avec le 68881 qui est, rappelons le, un coprocesseur arithmétique. Celte cane est relativement peut onéreuse mais elle à légèrement tendance à désynchroniser cette belle horloge qu'est l'Amiga. Autant dire que cette carte restera la solution coprocesseur du pauvre. Je n’invente rien, le tuyaux vient de C.M.I. Donc une solution pour les amoureux de la bidouille dont je suis.